Elle vouait « un culte à son père » mais, était « une jeune fille fragile », rapporte dans un premier temps l’hebdomadaire.
« Espiègle, très croyante » jeune, avec « un tempérament de feu », confie sa mère.
« Tout bascule en juillet 1973. Laurence a 15 ans et demi, elle participe à une régate à Porto-Vecchio ».
La jeune fille était alors en proie à un terrible mal de crâne. Une méningite n’a pas tardé à être diagnostiquée.
Elle « doit être rapatriée d’urgence à Paris où elle est soignée à la Pitié-Salpêtrière ».
Cette méningite serait à l’origine de son anorexie mentale, qui l’entraînera dans une terrible dépression, qui lui a gâché la vie une bonne partie de sa vie.
« Closer » revient également sur le décès de Laurence Chirac, occasion de publier quelques photos de ses obsèques en présence de l’ex président de la république, apparu « très affaibli physiquement ».
L’ancien président est venu assister à la messe en fauteuil roulant. « Sous le choc, au bord du malaise, il n’a pas trouvé la force d’assister à l’incinération de sa fille ».