Closer en avait état, tout comme le magazine le Public, qui a évoqué un sorte de pacte, sur lequel revient aussi Journal de France dans son édition de février avec Brigitte Macron en Une.
Laura Smet, qui fait son grand retour à Paris après un séjour dans le sud de la France avec son mari Raphaël, est supposée avoir conclu avec sa belle-mère comme l’unique héritière de Johnny Hallyday, via le trust JPS.
En contrepartie, un arrangement financier aurait été conclu à l’avantage de l’actrice de 36 ans.
Le but étant que la petite sœur de David Hallyday, dont la situation financière ne serait pas reluisante, échapperait au fisc. Aucune mention n’a été faite de David Hallyday.
"Il reste un grand perdant dans cette tractation : le fisc français", qui aurait peu de chance de récupérer un jour la somme rondelette de 33 millions d’euros.
Cette somme correspondrait aux dettes fiscales du taulier.
Bientôt à l’affiche de la Garçonne sur France 2, Laura Smet n’a jamais pris la peine de commenter cette allégation récurrente.