Jalil Lespert est visé par des rumeurs de séparation avec Laeticia Hallyday après près de trois ans de vie commune. Il ne commente pas ces allégations, en revanche, il dévoile un curieux message sur sa page Instagram.
Alors que Laeticia Hallyday est en guerre avec les autorités fiscales, et en galère pour régler une dette estimée à une trentaine de millions d’euros, une charge de son mari contre le fisc est reprise par le magazine « Spécial People ». Une « charge » poétique.
Le Taulier qui a perdu la vie il y a près de trois des suites d’un cancer, n’en pouvait plus des fisc, a rapporté son ami, le photographe Jean-Marie Périer, qui s’est laissé aller à quelques confidences sur Instagram.
Ce proche du mari de Laeticia Hallyday a souhaité partager une anecdote près « politiquement correct » sur les rapports tumultueux le rockeur et le fisc.
« Ça devait être à la fin des années 70. J’allais voir Eddy Mitchell à l’Olympia », se rappelle-t-il, avant d’être prévenu par Eddy Mitchell.
« Le Grand a fait la fête hier, occupe-t’en et on se voit après le concert ! Je vais donc chez Maryline, un tout petit bar au fond des coulisses dans lequel se pressait le tout Paris du spectacle pour attendre Johnny. Quand il apparait du haut de son mètre 85, tel que je le connais, il est clair qu’il n’a pas bu que de l’eau », se rappelle-t-il.
Et ce jour-là, le papa de David Hallyday et Laura Smet pousse une gueulante contre les impôts français. « Oui, tu comprends ils me prennent tout etc ». Je me permets de lui répondre : « Écoutes, je ne comprends pas, ta maison de disques t’a payé une fortune pour une publicité il y a un et toi, tu vas t’acheter un bateau cigarette qui en coûterait les trois quarts, ce n’est pas raisonnable ! Silence. Et là, il se tourne vers moi et me dit avec gravité : J’en avais besoin pour aller sur la mer ». Sa réponse était tellement hors de réalité que j’ai trouvé ça poétique ».
Laeticia Hallyday est en guerre avec les autorités fiscales, et en galère pour régler une dette estimée à une trentaine de millions d’euros, une charge de son mari contre le fisc est reprise par le magazine « Spécial People ». Une « charge » poétique.
Le Taulier qui a perdu la vie il y a près de trois des suites d’un cancer, n’en pouvait plus des fisc, a rapporté son ami, le photographe Jean-Marie Périer, qui s’est laissé aller à quelques confidences sur Instagram.
Ce proche du mari de Laeticia Hallyday a souhaité partager une anecdote près « politiquement correct » sur les rapports tumultueux le rockeur et le fisc.
« Ça devait être à la fin des années 70. J’allais voir Eddy Mitchell à l’Olympia », se rappelle-t-il, avant d’être prévenu par Eddy Mitchell.
« Le Grand a fait la fête hier, occupe-t’en et on se voit après le concert ! Je vais donc chez Maryline, un tout petit bar au fond des coulisses dans lequel se pressait le tout Paris du spectacle pour attendre Johnny. Quand il apparait du haut de son mètre 85, tel que je le connais, il est clair qu’il n’a pas bu que de l’eau », se rappelle-t-il.
Et ce jour-là, le papa de David Hallyday et Laura Smet pousse une gueulante contre les impôts français. « Oui, tu comprends ils me prennent tout etc ». Je me permets de lui répondre : « Écoutes, je ne comprends pas, ta maison de disques t’a payé une fortune pour une publicité il y a un et toi, tu vas t’acheter un bateau cigarette qui en coûterait les trois quarts, ce n’est pas raisonnable ! Silence. Et là, il se tourne vers moi et me dit avec gravité : J’en avais besoin pour aller sur la mer ». Sa réponse était tellement hors de réalité que j’ai trouvé ça poétique ».
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