Aya Nakamura, la reine de la pop urbaine française, a récemment été la cible d’une violente campagne raciste sur les réseaux sociaux. Son crime ? Être pressentie pour interpréter une chanson d’Édith Piaf lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux...
Après s’être clashée avec Vladimir Boudnikoff, le père de sa fille, Aya Nakamura prend cette fois pour cible Kev Adams.
Ce dernier a eu la mauvaise idée de plaisanter sur son prénom, ce qu’elle ne supporte pas.
« Kayakayaknanamura ! Son nom, on dirait pas un sort dans Harry Potter », a lancé l’humoriste sur sa page Twitter.
Et la réplique ne s’est pas faite attendre. À cette plaisanterie, Aya Nakamura n’y a pas goûté.
« Pas drôle, tu fais rire que des petits de 13 ans, avec ta coupe de péta***e, arrête de me su*er, parle pas de moi », a lancé la chanteuse, qui faisait parler d’elle cet été à la suite de sa guerre avec son homme Vladimir Boudnikoff.
Les deux ex-amoureux ont été placés en garde à vue au commissariat de Rosny-sous-Bois pour “violences réciproques sur conjoint”, et seront jugés fin novembre devant le tribunal correctionnel de Bobigny.
À la suite d’un différend conjugal, Aya Nakamura serait revenue avec deux amis et Vladimir Boudnikoff l’aurait très mal pris. Il les aurait menacés avec une arme, rapportait « Le Parisien », propos démenti par Vladimir Boudnikoff sur les réseaux sociaux.
« Je n’ai braqué personne, avec aucune arme à feu, sans poudre ni balle, a-t-il écrit en story. Nous avons fait des bêtises et c’est la vie », avait-il lancé.
Mais comme le rapportait le magazine Public, ce ne serait pas la première fois qu’Aya Nakamura et Vladimir Boudnikoff se chamaillent.
Dans le passé, le producteur a été accusé de tromperie par une jeune femme. Dans la foulée, « Aya supprime toutes les photos d’eux et retwee-tera même un message qui l’annonce célibataire ».
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