Pourtant, au début de sa relation avec l’héritier de la couronne britannique, la duchesse de Cambridge affichait quelques rondeurs. Mais à l’époque, elle ne supportait son image.
Et elle a donc suivi un régime.
Mais l’hyper-contrôle est un danger, rappelle la publication, qui a recueilli les explications de Sarah Chiche, écrivain, « psychologue, clinicienne et psychanalyste ».
« La pression est trop forte sur les célébrités. On leur demande de représenter une image idéale d’elle-même. La maigreur valorisée par la société, représente la puissance puisqu’elle signifie un parfait contrôle. Ce qui rentre en soi, la nourriture, est maitrisé », explique cette praticienne.
Elle déplore que dans l’inconscient collectif, dans l’imaginaire, la personne en surpoids est « encore associée à une personne paresseuse, qui n’est pas dans L’empowerment ».
Et depuis être très mince peut-être une tentative de domination de l’esprit sur son corps, une forme d’ascèse qui sonne comme un refus de l’hyper-consommation, une volonté d’épure.