Alors que Karine Ferri aurait pu être inquiète pour son fils, Maël, qui a fait son retour à l’école, une spécialiste apaise ses angoisses. La séparation se ferait désormais "sans les larmes".
Et le spécialiste en question est Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, qui se livre dans Le Parisien, et apaise les angoisses des parents dont les enfants ont repris le chemin de l’école après la délicate période de confinement.
Karine Ferri serait soulagée après avoir appris que les enfants "sont très peu impliqués dans la transmission du virus, du Covid-19, qui a fait des milliers de morts. "Au début de la crise, on a cru — comme pour d’autres virus respiratoires que les enfants "jouaient un rôle important dans la propagation", rappelle Le Parisien avant de relayer les explications d’un spécialiste.
"Pendant cette épidémie, on a adoré se faire peur. Aujourd’hui, on sait
que la population d’enfants est moins contaminante que celle des adultes. Le risque est même extrêmement faible", a-t-il précisé.
Les enfants auraient "moins de récepteurs du virus sur leurs
muqueuses nasales", a indiqué Robert Cohen. "Les enfants pourraient également
être davantage protégés parce qu’ils ont déjà attrapé d’autres coronavirus : c’est l’immunité croisée".
Par ailleurs, lorsque son fils Maël faisait sa rentrée des classes, Karine Ferri a craqué. France Dimanche évoquait "même une séparation dans les larmes ", en se basant sur les confidences livrées par l’animatrice de TF1 sur Instagram.
« Ça y est, c’est fait, j’ai versé ma larme. Mon petit garçon est rentré à l’école », écrivait-elle sur Instagram, regrettant même que le temps passe si vite : « Je m’en doutais que j’allais pleurer".
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