Cette liaison était alimentée en novembre dernier par le magazine "Voici", qui a immortalisé leur virée au bois de Boulogne.
Cette rumeur a été démentie non seulement par François Hollande sur le plateau de l’émission d’Anne-Elisabeth Lemoine sur France 2, mais aussi par Julie Gayet sur Instagram, et dans un entretien accordé au Monde.
"Nous, on sait ce qu’on vit, on sait qu’on s’aime, notre vie privée ne regarde personne", répondait-elle à ces rumeurs de rupture. Devoir en arriver là, poster une photo pour contrecarrer les attaques, c’est terrible".
"On s’est toujours dit, avec François, que chacun avait sa carrière, son métier et qu’on n’avait pas à s’afficher ensemble. Mais si on ne le fait pas, on dit qu’on est séparés. Quoi que l’on fasse, ça nous retombe dessus. Mon père me répète toujours l’expression : ’La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe.’ Mais si, ça atteint, ça fait mal, ça crée des chocs. C’est pénible pour la famille et déstabilisant pour les amis".
Et ce week-end, Julie Gayet est apparue tout sourire avec son compagnon à la maison de Shelomo Selinger, un artiste français d’origine polonaise.
Elle a aussi partagé l’une de ses oeuvres sur Instagram.
François Mitterrand a fait de cet artiste qui a connu la Shoah Chevalier de la Légion d’honneur en 1989, ordre dans lequel Selinger est aujourd’hui Officier (2006).