Ce policier est sorti de l’ombre suite la publication des photos de Closer, à l’origine de la révélation de l’idylle du chef de l’État et de Julie Gayet. Il a été immortalisé en apportant des croissants à la comédienne.
Il en avait par ailleurs pris pour son grade dans ’Merci pour ce moment’, le livre déballage de Valérie Trierweiler, qui affirme l’avoir fait pleurer.
L’ex première dame explique en effet, qu’après l’article de ’Closer’, les officiers de sécurité l’ont évitée comme la peste, craignaient ses crises de colère.
‘Depuis la publication des photos de Closer, où on les voit apporter un sachet de croissants rue du Cirque au petit matin, ils savent qu’ils n’ont pas intérêt à me croiser’, a-t-elle commenté.
L’un d’eux a cependant fini par se retrouver face à elle.
‘Nous nous retrouvons à descendre six étages, François et moi, accompagnés du porteur de croissants, ce policier immortalisé par les paparazzi rue du Cirque’, raconte la journaliste qui lui avait lancé : ‘Et aujourd’hui, vous n’avez pas apporté de croissants ? C’est ainsi que vous concevez votre métier de policier ? Je ne comprends même pas que vous soyez encore là’.
Tête baissée, l’officier ‘regarde ses chaussures’, précise l’ex première dame qui l’affirme gagnée par l’émotion. ‘son regard s’embue. François ne dit pas un mot’, a-t-elle indiqué.
L’officier en question qui estime avoir été humilié a porté plainte contre plusieurs magazines dont le Point, l’Express et l’hebdomadaire Marianne qui ont ont ’mentionné le prénom et sa fonction’.
L’intéressé estime que cette mise à mal d’anonymat lui est ’gravement préjudiciable’. Il a ainsi déposé une plainte devant le tribunal correctionnel de Paris pour "révélation de l’identité d’une personne dont l’anonymat doit être protégé’, un délit passible d’une amende de 15.000 euros.
Le souci, c’est que cette procédure ne pourrait être engagée que par le parquet. le tribunal correctionnel de Paris a donc jugé son action irrecevable.