Laeticia et Johnny Hallyday, qui prennent du bon temps à Saint Barth, se sont lâchés sur « Despacito », le succès de Luis Fonsi à l’occasion de la fête d’anniversaire de leur fille Jade.
L’adolescente né le 3 août 2004 a en effet soufflé ce 4 août ses 13 bougies lors d’une fête très animée organisée par ses parents, qui ont fini la soirée en partageant une danse sur le titre aux 2 milliards de vues sur Youtube, « Despacito » de Luis Fonsi.
Le rockeur de 74 ans est apparu au top, un pied de nez à ceux qui l’affirment en piteux état en raison de son âpre bataille contre le cancer du poumon.
">5 août 2017@LHallyday et @JohnnySjh : danse en duo sur le tube de l'été "Despacito" de @LuisFonsi à Saint-Barth ! pic.twitter.com/V6LLktXomb
— Mélanie Faure (@_melaniefaure) https://twitter.com/_melaniefaure/status/893851840500158465
">3 août 2017@LHallyday @JohnnySjh
Des parents heureux
13 ans de tendresse et d'amour..
Happy Birthday Jade. ????????????????
Douces et affectueuses pensées. ???????????????? pic.twitter.com/FMeb0Z4L7O— Fanfan (@simeon95260) https://twitter.com/simeon95260/status/893251759501701120
Aux dernières nouvelles, Johnny Hallyday est en passe de gagner sa bataille.
Ces nouvelles rassurantes réjouissent d’ailleurs Estelle Lefébure, qui a un lien indestructible avec le grand-père de ses filles.
« Il est le grand-père de mes filles. Il y a un lien indestructible entre nous tous. La famille est très importante pour moi… car personne n’est immortel. Il faut se dire qu’on doit en profiter », a lâché l’ex reine des podiums qui a pris récemment du bon temps avec Ilona Smet, sa fille ainée à Bali. Les photos avaient été publiées par le magazine Closer.
Celle qui serait officiellement célibataire en profite pour parler de son rapport à l’âge, elle qui est au top à 51 ans.
« Je ne mens pas sur mon âge. J’ai 51 ans, et la vision sur les quinquagénaires a évolué. Nous ne sommes pas finies !, se réjouit-elle. Ce qui compte c’est de savoir comment on se sent. Je suis heureuse d’être mère, d’avoir mille et une responsabilités, mais je ne veux pas oublier d’être femme ».
Nous devons nous dire que nous avons toujours le droit d’être désirables et de désirer sans honte. C’est vital », a justement conclu Estelle Lefébure.
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