Le roi Charles III et la reine Camilla Parker-Bowles se rendent en France pour rencontrer Brigitte et Emmanuel avec une énorme valise d’étiquette en remorque.
L’éloge funèbre de Johnny Hallyday aurait été préparé plusieurs jours avant son décès par le service de presse d’Emmanuel Macron, qui était tenu au courant de l’évolution de l’état de santé du taulier.
Celui-ci avait perdu la vie dans la nuit du 5 à 6 décembre à l’âge de 74 ans des suites d’un cancer des poumons, terrible maladie contre laquelle il s’était battu durant un an.
Et plusieurs jours avant sa disparition, l’Elysée avait préparé son éloge funèbre, a fait savoir « le Point ».
Il a été écrit par Sylvain Fort une semaine avant l’annonce du décès, ce qui a permis à celui-ci de truffer son éloge de plusieurs références aux succès de Johnny Hallyday.
« On a tous en nous quelque chose de Johnny Hallyday. Celui qui se disait fils de personne, né à Paris, un soir de juin 1943, s’appelait Jean-Philippe Smet et fut rapidement mieux connu sous le nom de Johnny. La rock’n’roll attitude qu’il importa des Etats-Unis fit de lui l’idole des jeunes dans les années 60, et une figure de la génération yé-yé. Lorsque passa le bon temps du rock’n’roll, le public aurait pu l’abandonner. Il n’en fut rien. Une autre vie pour lui commença. Celle d’un artiste puisant dans la musique qu’il aimait, qui venait du blues, du rock, de ces Etats-Unis rêvés (…) Depuis plus de 50 ans, il était une icône vivante (…) De Johnny Hallyday nous n’oublierons ni le nom, ni la gueule, ni la voix, ni surtout les interprétations, qui, avec ce lyrisme brut et sensible, appartiennent aujourd’hui pleinement à l’histoire de la chanson française. Il a fait entrer une part d’Amérique dans notre Panthéon national »
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