Alain Delon se serait illustré par une horrible trahison, celle à l’encontre d’une légende du cinéma.
Après Ici Paris, qui affirme l’illustre acteur en pleine convalescence dans son manoir de Douchy dans le Loiret, où il se remettrait de son AVC, c’est au tour du magazine ’Nous Deux’ de le mettre à l’honneur. Le magazine lui offre même sa une.
Mais à aucun moment, il n’est question de ses ennuis de santé. Il s’agit plutôt d’une retrospective de sa carrière, plus particulièrement de ses multiples collaborations avec Jean-Paul Belmondo, notamment dans Borsalino, réalisé par Jacques Deray en 1970. Le nom du film est une référence aux chapeaux des mafieux. Si le tournage a été compliqué, c’est aussi le cas de la sortie de ce long-métrage.
Jean-Paul Belmondo, qu’une rumeur affirme qu’il ne se déplace plus qu’en fauteuil roulant , trainera Alain Delon en justice.
« Il n’a pas supporté que son partenaire ait fait écrire sur l’affiche du film « Alain Delon présente », au lieu de « Adel Production présente » comme prévu par contrat ».
’Par cette manigance, Delon avait obtenu que son nom apparaisse en haut de l’affiche, alors que par ordre alphabétique, celui de Belmondo aurait dû figurer d’abord’.
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