Jean-Marc Morandini risque sept ans de prison dans un procès qui débute aujourd’hui, et où il doit répondre d’une accusation de "corruption de mineurs aggravée". Cette affaire remonte à six ans.
Bruno Solo, actuellement à l’affiche de la pièce « L’heureux élu » qui se joue sur les planches au théâtre de la Madeleine, a balancé sur Jean-Marc Morandini lors de son passage ce week-end sur le plateau de « Thé ou Café avec Yvan Le Bolloc’h » sur France 2.
Le comédien a pour l’occasion été interrogé sur Jean-Marc Morandini qui a posé ses valises dans les locaux de i-Télé pour y présenter une émission consacrée aux médias en dépit de sa mise en examen dans une affaire de moeurs.
« La pudeur voudrait que, en attendant les résultats de l’enquête, tu te mettes en retrait et tu attendes » a lâché dans un premier temps Bruno Solo, qui rappelle tout de même que comme n’importe quel citoyen, l’animateur d’Europe 1 bénéficie de la présomption d’innocence.
Mais au nom de la morale, il devrait se retirer de lui-même.
« Qu’il s’impose dans une rédaction qui ne le désire pas, c’est de sa part un mélange d’arrogance et d’imprudence qu’il risque de payer cher », estime l’acteur dont
Yvan Le Bolloc’h partage l’avis.
« Morandini, pour ceux qui ont un tout petit peu de mémoire, il suffit d’aller chercher les archives dans la télévision d’il y a quinze ans… les nains priapiques, les femmes à grosse poitrine, c’était lui », a-t-il balancé.
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