Najat Vallaud-Belkacem était l’invitée de l’émission C à vous sur France 5, où elle a fait un petit clin d’oeil à Jamel Debbouzze en citant l’une de ses phrases.
« C’est en m’installant dans le 16ème arrondissement de Paris que j’ai compris combien j’étais pauvre à Trappes », a-t-elle indiqué dans le cadre de cette émission quotidienne présentée par Anne-Sophie Lapix, où elle était venue présenter « La vie a plus d’imagination que toi », son livre sorti cette semaine.
Dans ce livre, la ministre a évoqué sa maman, sa grande inspiration.
« C’est particulier d’avoir attendu l’âge de 4 ou 5 ans pour vivre au quotidien avec son père. Mon père travaillait en France dans les usines automobiles, il revenait l’été », se rappelle la jeune maman.
Le reste de l’année, « on ne le voyait quasiment plus », a-t-elle ajouté avant de rendre un bel hommage à sa mère de qui elle est très proche.
« J’ai développé une proximité et une empathie supérieure à l’égard de ma mère », fait-elle savoir.
Dans cet ouvrage, qui sort aux éditions Grasset, la ministre de l’Éducation Nationale revient sur son enfance au Maroc, son pays d’origine qu’elle a quitté à l’âge de quatre ans.
« Quand on n’a pas eu l’eau courante, pendant des années, on est un peu différent », confie celle qui est née « sans soins et sans médicaments ».
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