C’est le propos du magazine « Closer » qui affirme que l’acteur et réalisateur n’aurait pas été autorisé à se rendre aux Etats-Unis, où sa compagne est installée, à cause de la crise sanitaire.
Jalil Lespert avait « de solides arguments professionnels, puisqu’il comptait débuter des repérages pour son prochain film en tant que réalisateur, avancer sur place sur le biopic sur Johnny, et rencontrer un producteur américain qui vient de l’approcher pour un rôle ».
Les autorités américaines n’auraient pas été convaincues par ses explications.
Et au magazine « Closer » de préciser que malgré l’éloignement, la maman de Jade et Joy pourrait toujours compter sur son homme, qui « a décidé à entrer un peu plus encore dans sa vie, en participant à la gestion de ses affaires ».
Il l’avait d’ailleurs accompagné Laeticia Hallyday pour son rendez-vous avec l’avocat fiscaliste parisien Pierre Pradier ».
Dans le cadre du règlement de la succession du Taulier qui avait opposé Laeticia Hallyday, celle-ci avait accepté de régler les dettes fiscales de son regretté mari.
"Nos finances reposaient sur les avances des tournées et les ventes des albums. Et je vais devoir rembourser la dette fiscale. C’est mon devoir, je l’accepte. Mais ce n’est pas l’argent qui manquera le plus : élever mes filles sans leur père, c’est ça le plus difficile. Johnny avait un lien unique avec elles", confiait-elle à Paris Match.