Même si David Hallyday est sur la réserve lorsqu’il s’agit de sa belle-mère, Laeticia Hallyday, de temps à autre, il userait de terme qui lui feraient très mal. Il l’appellerait l’ex-femme de mon père, et non pas sa veuve.
Si Jalil Lespert se fait rare aux États-Unis, auprès de sa chère et tendre, Laeticia Hallyday, c’est non seulement en raison de ses nombreuses, mais surtout à cause de soucis administratifs. Faute d’un visa long séjour, l’acteur-réalisateur ne pourrait séjourner sur une longue période à Los Angeles.
Pour ses visites à celle qui partage sa vie depuis un an, il dispose d’un visa touriste.
« Cela veut dire que dans moins de trois mois », il est contraint de rentrer en France, et ne pourrait multiplier les cours séjour afin d’éviter de s’attirer les foudres des services de l’immigration américains.
Comme le précise le magazine France Matin, le compagnon de Laeticia Hallyday serait contraint d’obtenir le visa B-2 voyage touristique, qui serait valable six mois, un sésame qui ne lui permet cependant pas d’exercer une activité professionnelle sur le sol américain ou encore de recevoir une rémunération de la part d’une entité américaine pendant toute la durée du séjour.
Pour la pérennité de leur histoire, le mariage serait inévitable, ce qui permettrait au papa de trois enfants de séjourner en continu sur le sol américain.
Contrairement aux rumeurs, leur relation ne serait pas menacée, et Laeticia Hallyday avait fait une jolie déclaration à Jalil Lespert à l’occasion de son 45 ème anniversaire.
« Dans tes yeux, je vois la beauté qui était perdue en moi, quelque chose de merveilleux dans la façon dont tu me regardes et m’aimes », a-t-elle écrit.
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