En octobre dernier, Laeticia Hallyday affirmait que ses filles, Jade et Joy, n’étaient pas déshéritées.
Mais pour Lena Lutaud, auteure du livre « Ils se sont tant aimés » aux éditions Albin Michel, c’est bien le cas.
« Dans le droit français, elles disposaient de leur part à 18 ans, comme les autres enfants. Mais dans le testament américain de Johnny, rien ne leur est attribué », précise-t-elle.
Elle explique que Johnny Hallyday avait prévu de quoi financer leurs études et leurs assurances-santé. ’Bizarrement, aucun montant n’est pas précisé’, explique la journaliste.
Ces sommes seraient laissées à la discrétion de leur mère.
« Dans cette affaire, on peut considérer que les deux filles ont des intérêts contradictoires avec leur mère. Or, elles ne sont pas représentées dans le trust par un administrateur indépendant », poursuit-elle.
A 18 ans, les filles cadettes de Johnny, ne pourront pas décider de la carrière posthume de leur père. « A moins qu’elle ne demandent à leur mère, par voie judiciaire, de disposer des mêmes droits que Laura et David », si ces derniers parviennent à le faire valoir.