Ingrid Chau­vin dénonce la complexité de la procédure d’adoption

24 mars 2017 - 19h19 - Télévision - Ecrit par : Rédaction LeGossip

Maman d’un petit Tom, Ingrid Chau­vin sera de retour sur nos petits écrans à l’affiche de « Joséphine ange gardien », série à succès de TF1 dans laquelle elle endossera le rôle d’une cancéreuse.

Pour l’occasion, elle se livre dans les colonnes de Télé-Star, où elle regrette la complexité de la procédure d’adoption.
« C’est la galère », a déclaré l’ac­trice qui a pourtant obtenu son agrément en 2015.

« Quand on connait le nombre d’enfants qui attendent dans des foyers, je me pose des ques­tions. Cela fait déjà deux ans que nous atten­dons et on a l’impres­sion que rien ne bouge ».

« Comme on nous a dit qu’adop­ter à l’étran­ger était devenu quasi­ment impos­sible, mon mari et moi, nous nous sommes tour­nés vers une petite pupille de l’état. Or, c’est exac­te­ment la même chose », regrette par ailleurs la star.

Et de poursuivre : « J’ai rappelé encore récem­ment et ça n’avance pas plus. Je ne comprends pas ! ».
L’an dernier, Ingrid Chauvin était tombée enceinte, deux ans après la perte de sa fille Jade.

Ingrid Chau­vin avait à l’époque tenu à témoi­gner dans le cadre de l’émission présen­tée par Sido­nie Bonnec sur France 5.
Elle évoquait son bonheur d’être à nouveau enceinte, après le décès de sa petite Jade à l’âge de 5 mois des suites d’une malfor­ma­tion cardiaque.
« C’est parce que je me sens prête que c’est arrivé. Ça a été une surprise digne d’un miracle car je n’y croyais abso­lu­ment plus, à cette gros­sesse natu­relle. Cela a été un cadeau merveilleux », glissait ensuite la comédienne.

« J’ai mis énor­mé­ment de temps, je me sentais sincè­re­ment morte à l’inté­rieur », expliquait l’actrice.

« On perd un peu l’insou­ciance des choses et je fais le travail de me dire “c’est extra­or­di­naire” en me disant, “Jade me fait un cadeau, en me disant “ça y est maman tu es prête à pouvoir donner à nouveau la vie. J’essaie d’ouvrir mon coeur à cette nouvelle vie sans être trop dans l’angoisse, sans trop d’engoue­ment », ajoutait Ingrid Chauvin. J’ai du mal à y croire encore ».

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