Ibra­him Maalouf « en état de choc », nie avoir demandé une photo de nu à une mineure de 14 ans

Début mars, il était affirmé que le trompettiste de jazz avait été entendu par les enquêteurs pour des textos et un baiser sur les lèvres adressés à une adolescente âgée de 14 ans au moment des faits.

Le trompettiste de jazz était supposé avoir reconnu les faits pendant sa garde à vue qui se serait déroulée en janvier dernier à la sûreté territoriale du Val-de Marne.

Des textos et un baiser sur la lèvre lui sont reprochés. La jeune fille en question effectuait un stage chez lui.
« C’en est resté là mais la gamine est tombée plus ou moins amoureuse », racontait une source au Parisien avant d’évoquer les parents.
« Ce sont des gens bien. Pas du genre à vouloir gagner de l’argent sur le dos d’une personnalité. Ils sont juste inquiets pour la santé de leur fille », ajoutaitla source.

Ibrahim Maalouf aurait pu être jugé selon la procédure dite du « plaider-coupable », où le mis en cause reconnaît préalablement sa culpabilité.
Le parquet avait cependant décidé de « poursuivre l’enquête », selon la procureure de Créteil, Laure Beccuau.
Aujourd’hui, l’artiste dément ces informations.

« Les accusations d’une très grande gravité portées à mon encontre m’ont indigné et je suis aujourd’hui en état de choc […] De fausses informations extrêmement préjudiciables ont été délibérément diffusées dans le seul but de me décrire comme un prédateur sexuel […] Il est absolument honteux de croire qu’il y a eu ‘agression sexuelle’, et encore moins de reconnaissance de ma part de cette supposée agression sexuelle, puisque c’est absolument faux », écrit-il.