Guillaume Auda et Milan Poyet, représentants des salariés d’iTELE durant la grève, étaient sur le plateau Europe 1.
Guillaume Auda a pour l’occasion exprimé ses réticences à l’encontre du maintien à l’antenne de Jean-Marc Morandini.
« Ma ligne rouge, sans entrer dans des problématiques de personnes, c’était la présence de Jean-Marc Morandini sur notre antenne, a ainsi déclaré le journaliste. Pour des raisons de morale qui me concernent, je ne pouvais pas accepter de travailler pour une antenne qui donne une vitrine à Jean-Marc Morandini ».
Il évoque ainsi l’ouverture d’une clause de cession, dans laquelle les dirigeants exigeaient des journalistes de se conformer aux changements imposés, ou de « sortir s’ils n’étaient pas contents ».
Un ultimatum que Guillaume Auda et les autres salariés ont vécu comme un choix entre « la peste et le choléra ».
">17 novembre 2016