Alors qu’Anne-Elisabeth Lemoine n’a rien demandé, elle risquerait de s’attirer les foudres de Cyril Hanouna suite à la charge de Bertrand Chameroy, son supposé compagnon.
Alors que Gérald Darmanin vient à peine de se marier, le voilà pris pour cible par Emmanuel Macron. Son bonheur est un peu contrarié.
C’est le 29 août que le ministre de l’Intérieur a uni sa destinée à celle de sa compagne de longue date, Rose-Marie Devillers à la mairie de Tourcoing, une ville du nord de la France dont il a été maire.
Les festivités se sont déroulées dans l’intimité, en présence de quelques proches.
Emmanuel Macron et Nicolas Sarkozy étaient conviés, mais ont finalement renoncé à leur venue.
A peine marié, Gérald Darmanin a été ciblé par le chef de l’État qui l’a recadré en public, rapporte "Le Canard Enchainé" dans son édition de cette semaine.
Convié par l’Association de la presse présidentielle, le chef de l’État a égratigné quelques ministres dont son ministre de l’Intérieur.
"Si j’estime qu’ils (les ministres) ne sont pas à la hauteur, je ne les garde pas. », a lâché Emmanuel Macron, avant de s’en prendre au ministre de l’Intérieur auquel il a reproché l’emploi du mot ensauvagement pour décrire les violences.
Même s’il reconnait « un processus de banalisation de la violence dans la société », pas question de parler d’« ensauvagement », comme l’a fait son ministre de l’Intérieur.
« Je ne parle pas d’ensauvagement, a-t-il précisé, mais de banalisation de la violence, qui est souvent verbale avant de devenir
physique. »
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