De sa lutte contre le cancer et des conséquences de son traitement sur son quotidien, Françoise Hardy en parle dans une prise de parole auprès de Gala. De grosses difficultés à déplorer.
De la mort, Françoise Hardy, toujours en pleine promotion de son dernier album, « Personne d’autre », ne se prive pas d’en parler, mais comme toujours avec une certaine distance.
La chanteuse de 74 ans qui en a fini de son cancer du système lymphatique contre lequel elle s’était battue durant une dizaine d’années en parle dans les colonnes du magazine « Gala », où elle se livre longuement.
Et elle a même parlé de la mort.
A la question, « Vous aimez plaisanter au sujet de la mort, du coup, je me permets : vous êtes plutôt incinération ou inhumation », l’épouse de Jacques Dutronc répond « par incinération ».
« Ce n’est pas écologique, pas le meilleur pour le gaz à effet de serre, mais bon », dit-elle.
Et lorsque la journaliste reconnait être effrayée, comme beaucoup de gens d’ailleurs, par l’idée de la crémation, Françoise Hardy prend le temps d’ex expliquer sa pensée, en précisant que le corps est un simple enveloppe.
« Une fois qu’on est mort, le corps n’est plus qu’une boite vide, pourtant. L’âme est de nature immatérielle. Libérée, elle rejoint l’au-delà mystérieux d’où elle est venue ».
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