Sans Julie Gayet, François Hollande, a été repéré aux côtés de Charlotte Casiraghi, la fille de la princesse Caroline de Monaco. Et il a été ridiculisé par une curieuse demande des photographes.
Aquilino Morelle, qui publie « L’abdication », un livre à charge contre François Hollande, se livre dans les pages de « Paris Match », où il qualifie le président de « tueur ».
« Un politique est par nature un tueur. Mais ce trait lui va particulièrement bien. Il l’assume d’ailleurs, en dépit de son image bonhomme et joviale, explique l’ancien conseiller du chef de l’Etat, qui semble surtout regretter le virage libéral de François Hollande.
« Comme beaucoup de Français, j’ai découvert un homme dont les convictions profondes sont libérales. Dès qu’il a pu les assumer au grand jour, François Hollande l’a fait, à partir de décembre 2014, en tournant le dos à ses engagements du Bourget. C’est une observation factuelle », poursuit-il.
« La lucidité rétrospective est un exercice aisé, dans lequel beaucoup excellent. En l’occurrence, personne ne m’a tiré par la manche pour m’avertir des vraies intentions de François Hollande. Et je préfère être naïf que cynique. Surtout quand le cynisme débouche sur l’échec. Car, au final, Hollande s’est puni lui même », croit savoir Aquilino Morelle qui a adressé un exemplaire de son livre au président de la république.
Aquilino Morelle a été viré pour avoir fait cirer ses chaussures à l’Elysée.
« J’ai commis une faute -une fois- ce n’était pas une habitude. Qui n’en commet pas ? Si le Président avait décidé de me sanctionner, je l’aurais évidemment accepté. Mais François Hollande a préféré garder cette arme pas devers lui pour m’éliminer au moment politiquement opportun pour lui ».
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