Le fils caché de François Hollande, l’ex-président de la République, serait sorti de l’ombre, annonce le magazine Ici Paris.
Valérie Trierweiler, l’ex-compagne de François Hollande, se serait inquiétée de la teneur de ses propos à son égard devant les journalistes.
Lorsque l’ex première-dame avait eu vent de la préparation du libre « Conversations privées avec le président (Albin Michel), il aurait envoyé un SMS au président de la république.
« Est-ce que tu y parles de moi ? », aurait-elle demandé. Le président de la république avait tenu à la rassurer : « Jamais. Je n’ai jamais rien dit contre toi. Et je dénonce ceux qui disent quoi que ce soit sur toi ».
Pourtant dans ce livre, le président de la république n’est pas très tendre avec celle qui a partagé sa vie durant huit ans.
François Hollande y confie notamment que son ex a mésestimé les difficultés d’être première-dame.
Le chef de l’Etat lui reproche surtout d’avoir balancé à son encontre dans « Merci pour ce moment ».
« A la limite, les confessions inutiles, j’aurais pu mettre sur le compte de la douleur, de la peine, de la souffrance, des larmes. Mais c’est ce sur quoi je devais réagir, c’est l’image renvoyée par ses descriptions sur les sans-dents qui a tout de suite pris. Sans doute faire de la psychologie, je pense que c’est elle qui a un complexe social vis à vis de moi », explique François Hollande.
« Un complexe sur nos différences d’origine sociale. C’est tout de même inattendu : je suis resté trente ans avec Ségolène Royal qui, elle-même vient d’un milieu très dur. Je ne suis jamais projeté dans l’idée que, dans le couple, deux origines différentes peuvent créer un malaise. Je n’ai pas de fortune par ailleurs », poursuit-il. « Mais je pense qu’elle portait ce complexe en elle depuis très longtemps. C’est pour cela qu’elle place cette expression ».
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