François Cluzet se livre sur la mort de Marie Trintignant, celle qui a partagé sa vie durant une douzaine d’années et avec qui, il a eu un fils.
La comédienne est morte sous les coups de Bertrand Cantat.
Le héros d’Intouchables était l’invité ce week-end de l’émission ’Thé ou Café’ sur France 2, où il n’a pas manqué d’être interrogé sur la tragique disparition en 2003 de la maman de son fils.
Et celui qui est désormais marié avec Narjiss Slaoui, l’ancienne directrice de la communication du Carlton de Cannes, n’est pas prêt de pardonner à Bertrand Cantat, l’ex leader de Noir Désir.
’Non, je ne pardonnerai jamais, a-t-il lâché, en parlant de la mort de son ex-femme, qui a perdu la vie sous les coups de Bertrand Cantat.
’Je ne pardonne pas aux gens qui frappent les femmes, qui les tuent, comme je pardonnerai pas aux assassins d’Ilan Halimi, comme je ne pardonne pas à ceux qui humilient les homosexuels’, dit-il.
’Je ne peux pas pardonner qu’on ait tué Marie, je ne pardonnerai jamais’, a-t-il fait savoir.
François Cluzet a repris la garde de son fils après la mort de Marie Trintignant.
’Je n’ai pu qu’essayer de le protéger, peut-être même trop parce que j’ai eu très peur de sa réaction, de la violence de sa réaction. Il était tout petit quand sa mère a été tuée, il avait dix ans’, rappelle-t-il. ’Donc j’ai essayé de le couver, de lui donner le plus d’amour possible, pour qu’il ne se retrouve pas abandonné, puisqu’il avait vécu avec ses frères et Marie toute son enfance et qu’il débarquait chez moi à ce moment-là’.
Il explique que son fils est désormais installé en Australie. « Il écrit, il veut être écrivain. (…) C’est pour une histoire d’amour qu’il est parti. », précise-t-il.
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