Dans le journal télévisé de l’ex de Patrick Poivre d’Avoir sur TF1, qui lui consacrait un reportage, « le commentaire de la journaliste le proclame ».
« Le rebelle s’est assagi. Fini les Porsche. Adieu Vanessa Paradis. La trentaine est plus sereine, la voix a gagné de l’ampleur », avait-elle lancé.
Ses propos ont été repris par Éric Le Bourhis, dans son ouvrage « Florent Pagny, l’éternel rebelle », mais aussi par Paris Confidences, qui met à l’honneur l’artiste.
Celui qui serait parven u à terrasser un cancer des poumons n’avait manqué d’y aller de son cri cœur. Il avait dévoilé pour l’occasion son surnom.
« Au bout de huit ou neuf ans de carrière, on admet que je chante bien, mais si j’avais encore mes boucles d’oreilles, on me traiterait encore de vache qui « rit, et on ferait encore des réflexions sur mon look », avait-il lancé. « Alors, j’ai décidé de biaiser en virant tout l’attirail et en enlevant une apparence… ».