La réconciliation inattendue : Vanessa Paradis et Anna Mouglalis se retrouvent aux côtés de Charlotte Casiraghi lors du défilé Chanel
« Un couteau dans le cœur », dernière réalisation de Yann Gonzales, avec Vanessa Paradis en tête d’affiche est qualifié de « creux » et de « Kitsch ».
« J’ai été conquise par ce personnage riche et intense, et très touchée que Yann Gonzales à un moment où on ne pensait plus tellement à moi pour le cinéma », confiait vendredi Vanessa Paradis à la conférence de presse cannoise d’Un couteau dans le cœur, film dans lequel elle endosse le rôle d’un productrice porno gay dont les acteurs sont pris pour cible par un tueur en série.
Mais « l’enthousiasme de l’actrice et chanteuse n’a pas forcément été communicatif », rapporte « Le Figaro » pour lequel certains cinéphiles sont prêts remettre à ce long-métrage le trophée du « nanar du Festival de Cannes 2018 ».
Pour Nathalie Simon, critique au service culture du Figaro, le drame « est le coup de trop, étrangement présenté en fin de festival. On sort malade ».
Le film de de Yann Gonzales « cumule les références à la contre-culture pour un résultat affligeant. Pas suffisant d’amener #Paradis en enfer, il faut aussi l’en sortir ! », regrette en outre Olivier Delcroix, qui officie aussi à la rédaction du Figaro.
« Un couteau dans le cœur est une étrange histoire sans queue ni tête dans le milieu porno kitsch des Seventies. Mais ce fantasme sur pellicule n’est ni assez drôle, ni assez sérieux », lance de son côté The Guardian.
Ces articles devraient vous intéresser :