Malgré sa relative influence sur le chef de l’État, Brigitte Macron éprouverait des difficultés à calmer sa mauvaise humeur.
A la mi-février, « France Dimanche » est revenu sur un drame qui a hanté durant de très nombreuses années Emmanuel Macron, candidat à la présidence de la république.
Il s’agit de la mort de sa soeur ainée. Elle est décédée un an avant sa naissance. Mais son ombre hanterait toujours la famille.
« Le plus jeune candidat, à 39 ?ans, à l’élection présidentielle, Emmanuel Macron n’en finit pas de créer la surprise », rapporte dans un premier temps l’hebdomadaire avant de rappeler que le cas de l’ex ministre de l’économie et des finances, on ne peut pas parler de chance.
France Dimanche raconte ensuite un drame qui honte toujours la famille Macron.
« En effet, dix mois avant de mettre Emmanuel au monde, Jean-Michel et Françoise ont vécu la plus cruelles des épreuves ? : perdre leur bébé. Une petite fille mort-née », indique la publication, qui se demande si les parents d’Emmanuel Macron avaient pu éviter l’accident.
« Il est possible qu’étant tous deux médecins, lui à l’hôpital de la ville et elle à la Sécurité sociale, cette question les ait hantés. Même si deux mois à peine après le drame, Françoise était de nouveau enceinte ».
« Est-ce pour implorer la protection divine sur leur garçon à naître qu’ils l’ont appelé Emmanuel, qui signifie « ?Dieu est avec nous ? » ?? C’est en tout cas un cadeau du ciel qui leur échoit ce 21 ?décembre 1977, à quatre jours de Noël », poursuit France Dimanche avant de prétendre que dans la famille « la mort rôde toujours ».
Comme l’écrit Claude Askolovitch dans Vanity Fair ? : « ?Françoise porte la blessure. Chaque mois de février, la douleur est lancinante. Retraitée aujourd’hui, elle exhale une souffrance en suspension que je ressens le jour où je la rencontre parce qu’elle veut me parler de son fils.? ».
Pas question cependant pour le candidat à la présidence de la république d’évoquer ce drame.
« ?J’ai toujours considéré que l’intime, ce que je suis au plus profond, était dissocié de mes activités publiques. C’était déjà vrai dans mon enfance ? », confiait-t-il dans Vanity Fair.
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