Le drame de Ludo­vic Chan­cel ?? Une inca­pa­cité à prendre sa vie main

9 août 2017 - 19h40 - Télévision - Ecrit par : Rédaction LeGossip

Annie Markhan, l’ex attachée de presse de Sheila, qui se livre longuement dans les pages de Gala se rappelle que le défunt n’aimait pas l’école.

« L’école, ce n’était pas son truc, les autres gamins l’em­bê­taient et, à vrai dire, il n’avait pas le goût de l’ef­fort. Embau­ché par Michel Drucker, il n’a pas persé­véré. Des mauvais génies lui ont fait croire qu’il pouvait deve­nir mannequin, chan­teur », explique-t-elle, allusion selon Gala, qu’à l’époque, Ludo­vic atter­rit dans une boutique de fringues, dans le quar­tier de Châte­let-Les Halles.

C’est là qu’il aurait commencé ses relations douteuses et qu’il aurait eu des choix de vie erra­tiques.
Ce propos est confirmé par Franck Pedretti, un ami proche.

 « Quand il m’a fait lire son livre, Fils de, détaillant son expé­rience de la drogue et de la pros­ti­tu­tion, j’ai eu envie de vomir. Il m’a assuré que certains passages étaient exagé­rés. Mais je ne recon­nais­sais plus mon ami. Il s’était abîmé. Il jalou­sait son beau-père. Il en voulait à sa mère qui se déme­nait pour qu’il soit pris en charge au centre hospi­ta­lier de Saint-Anne. Il me repro­chait de prendre le parti d’Anny. Sa détresse était évidente, mais Ludo était devenu un homme incon­trô­lable. En 2011, je lui ai demandé de ne pas venir à mon mariage, il n’était pas en état. Il m’en a tenu rigueur, mais nous avons main­tenu le contact », explique-t-il.

 

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