Très souvent discret, le chanteur de 51 ans se livre cette fois dans les pages du livre « Tu ne m’a pas laissé le temps », écrit par Laurent Lavige dont les bonnes feuilles ont été publiées par le dernier numéro de Voici.
Pour l’occasion, David Hallyday a tenu à rendre hommage non pas à son père, Johnny, mais à son beau-père, Tony Scotti.
« Il a été d’une importance capitale dans ma vie de famille recomposée, qui est trop souvent un carnage », a-t-il indiqué, se réjouissant que le mari de Sylvie Vartan a soulagé une partie de ses peines.
« Il m’a enseigné le professionnalisme dans mon métier », indique-t-il, lassant ainsi entendre que son père, Johnny Hallyday, ne lui a rien apporté.
« Si je suis bien dans mes baskets, c’est notamment grâce à lui. Je n’aurais pas pu être mieux loti », poursuit David Hallyday.
Tony Scotti s’est « occupé » de lui et a « été d’un élément important dans (son) caractère en tant qu’homme ».