De son addiction à l’héroïne, la chanteuse Dani en parle non seulement dans son livre « La nuit ne dure pas », qui sort chez Flammarion, accompagné d’un double CD, mais aussi dans les pages du « Parisien ».
« J’ai goûté à l’héroïne par curiosité, avoue-t-elle. Et, comme je suis excessive en tout, je suis tombée dedans jusqu’au cou ».
« Si j’avais partagé la vie d’un surfeur, j’aurais fait du surf. J’ai vécu des très hauts et des très bas. Je suis une miraculée, qui fait du rab depuis longtemps. Mais même les rencontres douloureuses m’ont fait avancer », poursuit celle qui en trouvera le salut que grâce à Etienne Daho, avec qui elle chante Comme un boomerang sorti en 2001.
« J’ai rencontré Etienne quand ma petite sœur est décédée, se rappelle Dani. Il a soigné mon chagrin ».
Et aujourd’hui, tout va pour le mieux.
« Les fleurs le matin, la musique l’après-midi et le soir… J’ai trouvé mon équilibre », conclut-elle.
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