Charlotte Casiraghi a une nouvelle fois été prise à partie dans Voici, et cette fois, ce n’est pas la rédaction, mais un lecteur, qui réagissait à la récente victoire en justice de l’héritière Grimaldi face à la société éditrice de l’hebdomadaire people.
Voici avait été contraint de publier cette décision de justice en sa Une. Elle prenait la moitié de la page.
« On comprend mieux que Charlotte Casiraghi ait une telle profusion de bijoux en tout genre : grâce aux procès qu’elle vous intente », a commenté un lecteur.
Voici n’a pas manqué de répondre : « Elle aurait de quoi sans nous, mais ce qu’elle nous prend pèse dans la balance - de la justice ».
En avril dernier, la rédaction de Voici avait déjà répondu à cette assignation de Charlotte Casiraghi, qui réclamait 30 000 euros.
La fille de Caroline de Monaco réclamait en effet cette somme rondelette pour un article sur son prétendu mariage, qui est supposé prévu cet été en Italie.
« Elle dit que si elle nous attaque souvent c’est que nous parlons souvent d’elle ; mais on ne fait qu’essayer de suivre comme on peut : Il faut reconnaître qu’elle conduit sa vie sentimentale pied au plancher ! », écrivait l’hebdomadaire people.
L’an dernier, par l’intermédiaire de son avocat, Charlotte Casiraghi avait déjà porté plainte contre le magazine Voici auquel elle reprochait non pas une atteinte à sa vie privée, mais un simple article sur ses looks.
La « haute » valeur commerciale de la fiancée de Dimitri Rassam est supposée avoir été « réduite ».
Dans son dossier de plainte, l’égérie de Gucci réclamait par moins de 150 000 euros « pour un simple article mode sur ses différents looks – rien à voir avec sa vie privée », rapportait le magazine people.
L’avocat de la fille de Caroline de Monaco expliquait « que son image vaut bien ça, car elle a une haute valeur commerciale ».
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