Dans l’oeil des projeteurs depuis sa tendre enfance, Charlotte Casiraghi ne semble pas apprécier l’image donnée d’elle dans les médias, celle d’une riche et belle princesse insouciante. Et elle ouvre son coeur à ce sujet.
L’héritière Grimaldi, qui aurait célébré les fêtes de fin d’année en Autriche avec sa mère, C aroline de Monaco, a été interrogée sur son image publique par le quotidien allemand, « Welt ».
C’est l’une des étapes de la tournée promotionnelle de son ouvrage « L’Archipel des Passions », qui vient de sortir en Allemagne. Elle l’a co-écrit avec le journaliste et philosophie Robert Maggiori.
Il lui est demandé comment elle vivait le fait de n’être perçue dans l’opinion publique que comme une « belle et riche princesse qui mène une vie insouciante ». Ce serait loin de la réalité.
Charlotte Casiraghi répond à sa manière.
« Il y a simplement une tendance à produire des mythes. Nous avons perdu notre conscience historique », a-t-elle indiqué, expliquant que lorsque le passé « fait défaut et que seul le présent compte, les mythes véhiculent un sentiment de retour et de fiabilité ».
Et les gens s’attacheraient donc à ce qui est véhiculé sans « chercher plus loin », précise la média allemand.
Mais cela ne semble pas poser de gros soucis.
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