L’héritière Grimaldi avait ouvert son cœur lors d’un entretien accordé au magazine « Elle », où elle présentait sa première production « Notre-Dame du Nil », l’œuvre de Scholastique Mukasonga.
Le récit se déroule dans les années 70 au Rwanda, sur fond de tensions entre Tutsis et Hutus.
« Ce huis clos anticipe le génocide de 1994, mais il se déroule dans les années qui suivent la décolonisation ».
Et au détour de ses confidences, Charlotte Casiraghi a confirmé son intention de reprendre ses études de philosophie, rappelle le média espagnol « Lecturas ».
Les confidences de la fille de Caroline de Monaco ont été exhumées.
« La littérature et la philosophie m’ont aidée à mettre les choses en perspective (...). Elles m’ont donné la force et le courage d’être moi-même. J’ai trouvé des partenaires, je me suis sentie comprise dans les épreuves de la vie », avait-elle confié, avant de briser le silence sur une blessure subie durant son enfance. Pudique, elle n’entre pas dans les détails.
« Quand j’étais plus jeune, je me souviens avoir été très en colère contre quelqu’un qui m’a blessée, et je me suis dit que même si J’étais en prison ou seule, tant que j’avais un stylo et du papier et que je pouvais m’exprimer, je pouvais être libre », disait-elle.