Cet été alors qu’elle célébrait son 34 ème anniversaire, la fille de la princesse Caroline de Monaco confirmait ajouter une autre corde à son arc, celui de productrice, suite à un vrai coup de coeur pour le roman Notre-Dame du Nil dont elle a finalement acheté les droits.
Cette production sortie l’an dernier n’est pas une expérience unique, laissait-elle entendre.
« Je ne m’interdis rien », a-t-elle par ailleurs indiqué.
A cause de la crise sanitaire, son activité de productrice est contrariée. Le cinéma qu’elle défend, celui du cinéma d’auteur, n’a plus de visibilité depuis le début de l’année.
S’elle ne s’exprime pas à ce sujet, Julie Gayet, qui est productrice, ne se prive pas de le faire dans "Version Fémina".
"Sur des films à budget très modeste, dépenser 20 ou 30 % de plus pour mettre en place les protocoles sanitaires est quasi impossible. C’est donc une année blanche pour beaucoup de petits producteurs. Même les films sortis ont, pour certains, eu des carrières courtes, avortées. Je pense à ADN, de Maïwenn, qui n’a eu qu’une journée d’exploitation, ou Poly, qui a fait le meilleur démarrage pour un film français en 2020 »