De son adolescence dans le sud de la France, Charlotte Casiraghi en garde un souvenir très douloureux. Son frère cadet, Pierre, livre une autre version. Leurs personnalités radicalement différentes en cause.
« Bunte » a relayé les confidences livrées par le fils cadet de Caroline de Monaco dans les colonnes de Boat International, où il n’a pas échappé à une question sur son enfance trouble, marquée par la mort de son père.
La famille s’était installée à l’époque à Saint-Rémy de Provence , là où leur mère s’était réfugiée suite à la disparition de son mari dans un terrible accident off-shore. Leurs moindres étaient surveillés à la loupe. Pierre Casiraghi ne semble pas traumatisé.
« Nous étions comme n’importe quel autre enfant. Tu vas à l’école tous les matins, tu rentres le soir, tu fais tes devoirs », a-t-il confié, conscient tout de même de ne pas être comme tous les autres enfants.
« mais je ne me souviens pas que cela nous a affecté d’une manière ou d’une autre », a-t-il indiqué.
Ces propos tranchent avec ceux de sa soeur ainée, qui parle de cette période comme d’un moment très douloureux, marqué par la solitude.
« La solitude, je l’ai ressentie assez tôt, adolescente, et c’est ce qui m’a poussée vers l’introspection, d’autant que j’avais un tempérament qui m’inclinait à l’analyse », disait-elle.