Charlotte Casiraghi est l’invitée de Laurent Delahousse ce soir dans le cadre de son émission « 20 h 30 » le dimanche. Aura-t-elle le droit à une surprise comme sa belle-mère, Carole Bouquet ?
Dès son plus jeune âge, Charlotte Casiraghi a été confrontée à la solitude, suite à la mort de son papa, Stefano Casiraghi, décédé lors d’une course offshore alors qu’elle n’était âgée que 4 ans.
Cette confidence, celle qui partage la vie du producteur Dimitri Rassam l’a faite dans les pages de l’Observateur de Monaco, repris par elpais.
« L’inquiétude et l’angoisse existentielle font partie de la vie de chacun, a-t-elle déclaré au média monégasque. Mon expérience personnelle a été faite d’événements tristes, comme la mort précoce de mon père, mais ce sont des choses qui arrivent à tout un chacun, peu importe d’où il vient ».
Et de préciser ensuite que la solitude, elle y a aussi été confrontée très tôt à Saint-Rémy de Provence et Fontainebleau, où elle s’était installée avec sa mère, Caroline de Monaco, juste après la mort de son père.
C’est là que la jolie brune, égérie de Gucci, a développé « une fascination pour Baudelaire et Rimbaud, des poètes urbains » qui ne l’a toujours pas quittée et avaient éveillé chez elle une passion pour Paris, « ville de mystères ».
« La solitude, je l’ai ressentie assez tôt, adolescente, et c’est ce qui m’a poussée vers l’introspection, d’autant que j’avais un tempérament qui m’inclinait à l’analyse. Plus tard, la compagnie des philosophes m’a donné l’impression que je n’étais pas seule. Je crois que cela tient plus à ma sensibilité personnelle qu’au fait que je viens d’une famille en effet un peu particulière », fait-elle par ailleurs savoir.
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