Charlotte Casiraghi, souvent visée par des rumeurs sur sa vie privée, sur les réseaux et dans certains médias, sort les griffes et livre le fond de sa pensée.
La fille de Caroline de Monaco s’est rendue fin octobre en Italie, le pays d’origine de son père, l’une des étapes de la tournée promotionnelle de son ouvrage « L’Archipel des passion », un essai co-écrit avec Robert Maggiori, qui officie également à la rédaction de Libération.
Pour l’occasion, elle s’est confiée lors d’un entretien accordé à un média italien, où elle n’a pas échappé à une question sur les critiques dont sa famille et elle font l’objet. Et pour une fois, Charlotte Casiraghi n’a pas mâché ses mots.
« Je me fiche de ce que cette énorme masse indifférenciée de gens qui utilisent les médias sociaux pensent de moi, (...), sinon cela deviendrait une obsession », fait savoir celle qui a uni sa destinée cet été à celle du producteur Dimitri Rassam, le père de son second enfant, Balthazar.
« Je n’aime pas les médias sociaux, même si je pense qu’ils peuvent être utiles pour diffuser du contenu intellectuel, ou partager une passion pour la culture et la philosophie », a indiqué en outre l’héritière monégasque.