Après avoir gardé le silence pendant plusieurs jours, Kelly Vedovelli a décidé de mettre les choses au clair concernant les rumeurs la prétendant enceinte de son premier enfant, potentiellement issu de sa relation avec Cyril Hanouna.
Après une escapade romantique à New York et aux Caraïbes, Charlotte Casiraghi s’octroie une petite virée à Rome avec son ami Dimitri Rassam, le fils de Carole Bouquet.
Pour l’occasion, ils ont goûté aux « spaghettis à la sauce tomate » et l’héritière des Grimaldi s’est même permise de déguster une « bière au goulot ».
Les photos de cette virée ont été publiées par le site de la télé italienne TGcom.
« Des sourires, des baisers, et des promenades romantiques » étaient au programme.
Paris Match, on le rappelle, donnait il y a peu des précisions sur l’ami de la fille de Caroline de Monaco.
Le producteur de 35 ans « a connu son premier succès avec « Le Prénom », lui qui cherche à s’en faire un. Le père de Dimitri, Jean-Pierre Rassam, était le producteur de Godard, Pialat ou Polanski ».
C’est en 1985, que le mari de Carole Bouquet « succombe à une forte dose de barbituriques », alors que leur fils Dimitri n’avait que quatre ans.
Paris Match précise ensuite que c’est à l’âge de 23 ans que le jeune homme a lancé sa propre boite de production.
Télé Loisirs avait aussi donné des précisions sur ce beau brun qui « a le regard bleu azur de sa mère, et l’immense talent de son père, Jean-Pierre Rassam », producteur d’origine libanaise qui s’est suicidé à l’âge de 43 ans.
« Né en 1981, Dimitri Rassam marche très vite dans les pas de ses illustres parents, s’intéressant lui aussi au septième art, après un bac scientifique et une licence d’Histoire à la Sorbonne. Comme le reste de sa famille (…), Dimitri Rassam fait le choix de devenir producteur. Et c’est dans les années 2000 qu’il lance ses sociétés de production : Chapter 2, Little Princess et Upside Down », indique la publication.
Alors que sa nouvelle adaptation du film « Le Petit Prince » est présentée l’an dernier hors-compétition au Festival de Cannes en 2015, il reçoit un an plus tard « le César du meilleur film d’animation ». « C’est la consécration pour le producteur, à qui l’on doit également les deux volets de Papa ou Maman ».
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