La personnalité de Charlotte Casiraghi évoluerait non seulement grâce à sa mère, la princesse Caroline de Monaco, mais aussi au contact de Carole Bouquet, sa belle-mère.
Si l’égérie de Gucci et Chanel a réussi à renouer le dialogue avec son ex Gad Elmaleh avec lequel elle semblait fâchée après l’implosion de leur couple, ce serait grâce aux conseils délivrés par son entourage. Et c’est le cas notamment de Caroline de Monaco, qui aurait toujours apprécié Gad Elmaleh.
Sa belle-mère, Carole Bouquet, ne doit pas être aussi étrangère à son changement.
Il faut dire que l’actrice mythique a un avis tranché sur les séparations.
Pour elle, le contact doit demeurer en dépit des rancoeurs tenaces.
« car tout gâcher c’est se nier soi-même. Si l’on est en colère contre l’autre, c’est contre soi-même, évidemment, et la colère fait du mal. Je ne dis pas qu’il est facile de se séparer, mais on a peu d’amis sur Terre, peu de gens qu’on a aimé, et je trouve que c’est une folie de tout rayer, de détruire ça », a-t-elle confié.
’Certes, on n’aura pas les mêmes rapports, on va s’éloigner, mais gardons l’autre à nos côtés. Je dis peut-être ça parce que j’ai perdu très jeune un homme que j’aimais’, poursuit-elle, en référence au producteur Jean-Pierre Rassam, le père de son fils ainé, Dimitri, le fiancé de Charlotte Casiraghi.
’Je connais trop la valeur de l’amour pour accepter de se priver d’une tendresse, d’une complicité qui peut continuer à exister. Se priver tout simplement de quelqu’un qui vous connaît. Il y a si peu de gens qui vous connaissent ! Même si on dit à l’autre : « Tu n’as pas su, tu n’as pas compris », mais si, l’autre sait beaucoup et a beaucoup compris’, glisse celle en couple avec Philippe Sereys Rothschild
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