Charlène de Monaco et Caroline de Monaco n’auraient pas fait les mêmes erreurs que la regrettée princesse Grace dont les compétences maternelles sont remises en cause.
Si Charlotte Casiraghi devait un jour s’envoler sur une ile déserte avec son mari, le producteur Dimitri Rassam, le père de son second fils, elle emporterait certaines choses.
La fille de la princesse Caroline de Monaco a eu l’opportunité d’en parler dans le cadre de Rendez-vous littéraires Chanel, qu’elle propose depuis le début de l’année sur le site de Chanel dont elle est désormais l’égérie.
Il s’agit d’une formidable point de rencontre entre le monde de la mode et celui de la littérature.
Pour l’occasion, la femme de Dimitri Rassam a discuté avec la romancière Jeanette Winterson et Keira Knightley de l’importance de l’héritage de Virginia Woolf, une rencontre organisée dans le cadre de la Fashion Week de Londres.
On apprend qu’elle emporterait avec elle les œuvres de Flaubert et Baudelaire sur une île déserte.
L’écrivaine et philanthrope monégasque a cependant éprouvé de grandes difficultés pour choisir sa « pièce Chanel la plus précieuse ».
Sans doute prendrait-elle un petit sac en cuir qui lui a été offert lorsqu’elle était enfant.
« J’aimerai pour toujours l’éclat de ce sac rose », dit-elle avec un sourire radieux.
Face aux caméras, Charlotte Casiraghi qui se rend de plus en plus souvent sur le Rocher en l’absence de sa tante, la princesse Charlène de Monaco pour cause de maladie, sauverait aussi ses vestes Chanel « bouclées », qui vont avec tout.
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