Ce dimanche 31 mars, la famille princière monégasque était réunie à la cathédrale Notre-Dame de Monaco pour la traditionnelle messe de Pâques. Parmi les invités, Raphaël Elmaleh, le fils de Charlotte Casiraghi et de Gad Elmaleh, a joué un rôle...
Le séjour d’Emmanuel Macron au Rwanda, où il a reconnu particulièrement la responsabilité de la France dans le génocide des Tutsi aurait sans doute intéressé Charlotte Casiraghi, la fille de Caroline de Monaco, qui s’était intéressée à cette sombre histoire dans sa première production.
L’égérie de Chanel avait suivi les pas de son mari, Dimitri Rassam, en se lançant dans la production.
Elle a produit « Notre-Dame du Nil », une adaptation d’un livre de Scholastique Mukasong, un projet qu’elle évoquait auprès de Madame Figaro.
« C’est plutôt l’idée d’accompagner un projet qui est née d’un livre de Scholastique Mukasonga », a-t-elle indiqué, évoquant une aventure « humaine et sa construction », qui l’ont intéressée.
Et cette production de Charlotte Casiraghi est liée à la visite d’Emmanuel Macron au Mémorial du génocide de Kigali, où reposent les restes de 250 000 des plus de 800 000 victimes.
Le chef de l’État est venu notamment « reconnaître [les] responsabilités » de la France dans le génocide de 1994 au Rwanda.
Il précise toutefois que la France « n’a pas été complice », mais elle a fait « trop longtemps prévaloir le silence sur l’examen de la vérité ».
« Seuls ceux qui ont traversé la nuit peuvent peut-être pardonner, nous faire le don de nous pardonner ».
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