Si Charlotte Casiraghi, et aussi sa mère avant elle, a vu sa vie se compliquer en raison du harcèlement des paparazzi, ce serait en raison d’une surprenante décision de son grand-père.
Gérard Miller, le réalisateur d’un documentaire consacré au Rocher diffusé sur France 2, explique que le grand-père de la fiancée de Dimitri Rassam, avait vendu l’exclusivité des photos de la naissance de sa fille aînée, la princesse Caroline de Monaco. Et cela aurait ouvert la boite de pandore. L’intérêt pour la vie privée des membre de la famille princière de Monaco était né.
Des patrons de rédactions des magazines people avaient même été réunis à l’époque au palais.
Les photos de grands événements sont ainsi négociés, ce qui a fait naitre l’intérêt pour la vie privée des membres de la famille princière monégasque.
Aussi, pour échapper à cette pression, Charlotte Casiraghi et ses frères avaient été protégés par leur mère, qui a pris la décision radicale de quitter la principauté pour se réfugier à Saint-Rémy de Provence. La fiancée se sentait alors seule.
« La solitude, je l’ai ressentie assez tôt, adolescente, et c’est ce qui m’a poussée vers l’introspection, d’autant que j’avais un tempérament qui m’inclinait à l’analyse. Plus tard, la compagnie des philosophes m’a donné l’impression que je n’étais pas seule. Je crois que cela tient plus à ma sensibilité personnelle qu’au fait que je viens d’une famille en effet un peu particulière », faisait-elle savoir.
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