C’est depuis quatre que Charlène de Monaco aurait commencé à prendre ses distances de la principauté, surtout après que son mari, le prince Albert a été aux prises avec une affaire de corruption.
Les absences répétées de la première dame monégasque, « agitent d’autant plus les langues que, ces derniers temps, Albert est aux prises avec une terrible affaire de corruption », a rappelé le magazine Ici Paris dont le propos est conforté par le magazine Gotha.
Cette affaire qui avait agité au départ Dmitri Rybolovlev, milliardaire russe, et un homme d’affaires suisse, Yves Bouvier, que le patron de l’AS Monaco accusait d’escroquerie.
Mais finalement, cette affaire a agité plus de gens dont des dignitaires monégasques. Un ancien ministre a aussi été cité dans cette affaire.
Charlène de Monaco, qui composait déjà avec quelques ennuis de santé, aurait mal vécu que le père de ses enfants soit visé tous les regards.
Sa décision d’écarter le juge s’occupant de cette sombre affaire aurait choqué. Il a été remplacé dans la foulée.
Même si le prince Albert a assuré dans un communiqué, son « attachement à une justice indépendante et impartiale », cela n’a pas manqué de susciter quelques interrogations.
« Il aurait d’autant plus besoin de l’épaule de Charlène, de son soutien… Mais, hélas pour lui, au cœur de cette tourmente, le souverain doit se sentir bien seul », a glissé la publication. La maman de Jacques et Gabriella semblait s’être déjà éloigné.
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