Pour mettre fin aux spéculations, une rumeur prétend qu’il aurait décidé d’ouvrir les portes du Palais aux caméras, à l’instar de Victoria de Suède.
Charlène de Monaco a assisté le 14 décembre dernier au dixième anniversaire de sa fondation, mobilisée contre les noyade. Et un souvenir traumatique, une blessure qui la tourmenterait encore, est exhumée.
La Fondation Princesse Charlène de Monaco a été lancée en 2012, peu de temps après le mariage de l’ex-nageuse avec le prince Albert de Monaco.
Cette institution, dont le vice-président est Gareth Wittstock, s’est fixé comme objectif de sauver des vies en luttant contre les noyades et qui se consacre également à l’éducation et à la construction de l’enfant par le sport.
Des photos de la cérémonie au cours de laquelle Charlène de Monaco a pris la parole ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Elle s’est exprimée en anglais alors que les fans s’attendaient sans doute à ce qu’elle prononce des paroles en français.
Et dans le commentaire, un drame est évoqué, celui de sa blessure à l’épaule qui a brisé son rêve olympique.
A cause d’une blessure à l’épaule qui n’est jamais vraiment guérie, la maman de Jacques et Gabriella n’a pas pu s’entraîner pendant plusieurs mois.
Et pour une nageuse professionnelle, c’est un terrible drame.
« Ce fut la fin de sa carrière de nageuse mais la natation resta à jamais comme une blessure dans son cœur. En tant que princesse, elle s’est consacrée à la natation d’une manière différente », est-il indiqué.
Ce serait cette blessure qui lui aurait provoqué une addiction aux anti-douleurs qu’elle aurait soignée l’an dernier en Afrique du Sud.
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