Le 19 novembre, jour de la Fête nationale de Monaco, l’atmosphère semblait tendue chez la famille royale, rapporte le magazine France Dimanche, qui fait état d’une décision du couple princier de « quitter » la principauté pour sauver leurs enfants.
Même en sa qualité de première dame du Rocher, Charlène de Monaco n’aurait pas eu droit à quelques biens appartenant à Grace Kelly, son illustre belle-mère.
Certaines robes auraient été accaparées par sa belle-mère, Caroline de Monaco, et sa nièce Charlotte Casiraghi.
Celle-ci l’a confirmé dans une interviewée dans Harper’s Bazar.
L’héritière monégasque a confié, comme le reprend le magazine Voici, qu’à ce jour, la plupart des robes de Grace Kelly « sont archivées dans la palais de la famille Grimaldi ».
Caroline de Monaco et sa fille en ont récupéré quelques-unes.
« Ma mère a une robe noire Balenziaga (..) et aussi quelques costumes qu’elle a fait faire par un tailleur à Londres. Et j’ai aussi une jupe et une veste », a déclaré la femme du producteur Dimitri Rassam.
Charlène de Monaco n’aurait eu le droit rien, comme le précisait en septembre dernier Paris Match, où il était fait cas d’une humiliation.
« Monaco est un village peuplé de requins et de vipères », dénonçait Charlène de Monaco, qui a subi une humiliation à l’occasion du vernissage de l’exposition Grace Kelly au Grimaldi Forum.
Sa venue avait été retardée pour une étrange raison : « Le temps pour la maison Hermès de remettre aux ‘vraies’ princesses Caroline et Stéphanie, deux sacs Kelly ».
Aucun cadeau n’était prévu pour elle, sinon d’accéder au premier cercle ».
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