« Quelques-uns se sont montrés hostiles à mon égard, rejetant ainsi le choix du souverain. Cela l’a atteint et blessé autant que moi-même », avait dénoncé Charlène de Monaco, en évoquant son entrée dans la famille princière de Monaco, et l’accueil glacial qu’elle a reçu de certains. Elle ne livre aucun nom.
« Dans cette épreuve, nous avons tous les deux souffert », disait-elle.
Grace de Monaco a aussi été mal accueillie, a révélé sa biographe Sophie Adriansen, auteure de « Une Américaine à Monaco ».
La mère de Caroline de Monaco avait « opte ? pour la strate ?gie du fond, passant en revue les dossiers avec le plus grand se ?rieux. Elle ne s’e ?tait attire ?e que de la me ?fiance : les employe ?s, habitue ?s a ? ce que l’on commenc ?a ?t les re ?unions en prenant des nouvelles de chacun, l’avaient juge ?e hautaine et froide ».
Et elle n’a finalement réussi à trouver sa place qu’au bout de plusieurs années. Elle n’avait pas le choix.
« Mon mari e ?tait de ?termine ? a ? faire de moi une vraie princesse, soulignerait Grace, et il m’a montre ? le chemin avec
beaucoup de patience et de compre ?hension », se réjouissait-elle.
Charlène de Monaco n’aurait pas eu cette patience.