Au début de l’été, le version allemande de ’In Touch’ affirmait que la première dame prenait des libertés avec le protocole. L’heureuse maman de Gabriella et Jacques choisirait ses apparitions publiques.
L’ex nageuse qui se serait octroyée une croisière en Méditerranée à bord d’un yacht dont la semaine de location aurait coûté 600 000 euros aurait imposé son point de vue à son mari.
Mais c’est de l’intox. Dans un livre qui lui est consacré, ’Albert II de Monaco, l’homme et le prince’, signé d’Isabelle Rivère, Peter Mikelbank, le prince souverain du Rocher, a rappelé qu’on ne peut transiger avec ses devoirs.
’Je me sens libre d’exprimer quelques facettes de mon caractère jusqu’à un certain point seulement’, a-t-il indiqué. Une manière de rappeler que la liberté a ses limites, y compris pour lui-même.
’Bien des aspects de ma fonction ne sont pas adaptables, il a moyens d’en contourner certains, d’en modifier la forme par exemple, mais l’essence absolument pas’, insiste le mari de Charlène de Monaco. Il y a toujours des règles à respecter dans les affaires de l’état et les relations avec les gouvernements et les autres institutions’.