La semaine dernière, la famille Grimaldi dévoile sa carte de fin d’année dans une élégance digne de la royauté monégasque. Mais c’est Charlène de Monaco qui a attiré les regards avec une épaule dénudée.
De ses débuts dans la principauté, peu de temps après l’amorce de sa relation avec le prince Albert, Charlène de Monaco en parle longuement dans les colonnes du magazine « Point de Vue », et se rappelle des difficultés auxquelles elle a dû faire face.
Leur histoire d’amour s’est déclenchée en 2006. Mais ce n’était pas évident. Albert de Monaco était déjà le souverain.
« Au début, j’étais la petite amie que l’on place dans un coin de la pièce, si possible plutôt dans le fond. J’entendais : ‘il ne faut pas qu’elle se mette trop près’ ou encore ‘Mais enfin qui est ce, elle ne parle même pas français’, ‘elle n’est pas habillée comme il faudrait’ », se rappelle Charlène de Monaco, qui se souvient qu’à cette période, son seul guide, c’était son futur mari et futur père de ses enfants.
« Mon seul guide, celui qui me conseillait, qui faisait tout pour m’aider, était, encore là, mon futur mari. Ce n’était pas toujours simple », reconnait la princesse du Rocher.
Et de préciser que le prince Albert de Monaco « souhaitait » qu’elle l’accompagne dans ses obligations officielles.
« Je me demandais comment faire, de quelle manière les gens allaient me percevoir. Mais je le sentais vraiment désireux de ne pas me brusquer », indique la princesse, qui avec le temps a réussi à trouver sa place.
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