À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, Charlène de Monaco s’est mêlée à la joie des jumeaux Gabriella et Jacques, dans une célébration orchestrée par le Département de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports...
Isolée en Afrique du Sud, officiellement pour des raisons de santé, Charlène de Monaco irait très bien, enfin proche des réalités, la vie qu’elle apprécie. Un proche se confie à son sujet. Elle adore se balader pieds nus en forêt.
Il s’agit de Cyril Viguier qui lui a consacré un dossier, un documentaire qui était diffusé il y a quelques années sur France 3.
Et c’était l’occasion de se livrer sur sa personnalité. Ses confidences ont été reprises par le magazine Royauté.
La maman des adorables Jacques et Gabriella serait du genre directe, « contrairement à l’image souvent donnée d’elle », la presse populaire.
« Je dirais même très « cash » », a fait savoir ce proche de la famille princière de Monaco.
« Les gens ne comprennent pas vraiment qu’elle est Sud-Africaine, donc Africaine. Elle est née au Zimbabwe . Elle est très proche des réalités et de la terre », avait fait savoir celui qui a aussi mis à l’honneur Alain Delon.
Retranchée depuis des mois en Afrique du Sud, où elle compose tant bien que mal avec une infection dans la zone ORL aurait en horreur les diners mondains et les sorties protocolaires.
Là, où elle se sentirait très à l’aise, se serait en forêt, où elle se baladerait pied nus pour une surprenante raison.
L’épouse du prince Albert de Monaco dont le retour sur le Rocher est prévu pour fin octobre adore « ressentir les vibrations de la nature dans son corps ».
La vie de palais, ce ne serait « pas pour elle », affirme le magazine people.
Même s’elle apprécie sa vie africaine, Charlène de Monaco est impatiente de revenir pour ses enfants.
Elle le rappelait le 2 août dernier dans une vidéo diffusée sur le site de la station sud-africaine South Africa Radio 702.
« J’ai été très triste de ne pas être avec mes enfants cet été en Europe. C’est la plus longue période durant laquelle j’ai été séparée d’eux jusqu’à présent », confiait-telle. « Je me sens bien. Et je mets ce temps d’attente à profit pour travailler sur des projets. J’ai transféré ma fondation en
Afrique du Sud. »
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