Même si Charlène de Monaco apparait plus sereine et apaisée, son état demeurerait fragile, et serait même forcée d’effectuer des visites régulières dans une clinique en Suisse.
Bien que transformée en vacances en Afrique du Sud, Charlène de Monaco n’est jamais apaisée. Une terrible angoisse continue de lui peser.
Et cette oppressante angoisse serait liée non seulement à son enfance compliquée, mais aussi à sa grossesse ’tardive’ indique le média sud-africain, repris notamment par Kurier, qui a récemment mis la princesse du rocher à l’honneur.
Elle craindrait de perdre ses jumeaux, Gabriella et Jacques, des trésors plein de vie.
Cette angoisse trouverait aussi ses racines dans sa propre enfance alors qu’elle avait dû quitter le Zimbabwe alors en proie à une terrible guerre civile. Elle aurait ’vu des cadavres en pleine rue’, rappelle la publication.
Cette hantise de la mort brutale et subite, l’épouse du prince Albert en parlait aussi lors d’un entretien accordé à Radio Vatican, où elle confirmait avoir failli mourir par noyade durant son enfance.
« Mon cousin s’est noyé à l’âge de cinq ans et un bon ami a perdu sa petite-fille », avait-elle confié une autre fois. Une fois en vacances, j’ai été témoin de la noyade de trois personnes ».
« La plus grande peur de ma vie était de se noyer », indique-t-elle par ailleurs, en précisant plus loin que ces angoisses ancrées se sont désormais portées sur ses jumeaux, qu’elle a eu tardivement.
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